STREET ART 24
STREET ART 24
Le week-end des 14, 15 et 16 Juin la Cour des Arts et la Mairie de Brunstatt-Didenheim, vous convient à une exposition exceptionnelle de Street Art.
Tous les ingrédients de cet univers d’inspiration pop seront rassemblés en un seul lieu !!
Cette année « Orlinda Urban Art Gallery » sera notre partenaire. Brunsattoise, passionnée d’art, Orlinda nous fait l’amitié de venir exposer quelques uns des artistes qu’elle représente et son choix
est excellent !! https://orlinda.gallery
Des artistes renommés, au talent reconnu au-delà de nos frontières.
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SVEN (réalisation d’une fresque durant le week-end dans la Cour), Stew, Jana & Js, Shaka, Silks, Yann Couedel ( photographe Urbain), Benoit Gilbert (photographe de concerts), Le Groupe The Prisoners , DJ FLO.
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Samedi soir Food Truck " Le Colibri" ( cuisine vegan) lors de la soirée DJ Set.
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Un atelier de transfer graffitis sur tee-shirt pour enfants
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Un stand de l' association GRAFF'HIT
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Un atelier graffs sur panneaux pour enfants
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Buvette tout le week-end
Vendredi 14 Juin
19h00 : Inauguration de l’exposition
Mot du Maire Antoine Viola et de la Présidente de la Cour des Arts Stéphanie Lehmann,
19h30 : Concert The Prisoners
Buffet et verre de l’amitié offerts aux visiteurs
Samedi 15 Juin
10h00 Ouverture de l’exposition
10h - 12h live proposé par SVEN (fresque)
10h - 18h Live Painting Graff'Hit sur totems Béton
Restauration Food Truck "Le Colibri"
Buvette et grignotage assurés par la Cour des Arts
18h/21h Dj Set par FLORIAN.B
Dimanche 16 Juin
10h00 Ouverture de l’exposition
10h - 12h live proposé par SVEN (fresque)
10h - 11 h Atelier" Transfers sur tee-shirt pour 10/12 ans"
11h - 12 h Atelier" Transfers sur tee-shirt pour 12/14 ans"
inscription à : contact@courdesarts.fr (5 places par atelier)
participation : 5 € par enfant
14h - 16 h " Graff sur panneau pour ados "
Inscription contact@courdesarts.fr - gratuit
Buvette assurée par la Cour des Arts
Clôture des festivités 18h00
Présentation des artistes :
SVEN
LES DÉBUTS DE SA CARRIÈRE
SVEN né en 1988, est un artiste français, qui vit et travaille à Mulhouse (France.)
Adolescent, lors de ses nombreux voyages, les graffitis le fascinent par le mélange des styles et des couleurs. Il commence à peindre sur les murs, dans la rue, dans des entrepôts et sur de nombreux autres supports.
Ses œuvres sont ensuite réalisées sur toile, reprenant reliefs et irrégularités des supports de la rue.
UNE TECHNIQUE IMPULSIVE
L’œuvre de SVEN, est aisément reconnaissable par ses superpositions de matières, ses lettrages, ses couleurs vives et ses formats parfois de taille importante.
Il travaille ses graffitis de façon très impulsive, ses lettrages laissant souvent place à des mouvements, des symboles, tout en jouant avec des couleurs vives.
Il puise son inspiration dans les rues des villes comme Paris, Barcelone ou encore Amsterdam qui lui sont intarissables par leurs histoires, et leur place dans le monde du graffiti.
L’œuvre de SVEN s’est exposée dans de nombreuses villes telles que New York, Beyrouth, Miami, Paris, Lausanne…
SHAKA
Marchal Mithouard, connu sous le nom de Shaka, est un artiste street art né en 1975.
Il vit et travaille à Paris. Il a commencé le graffiti dans les banlieues sud de Paris dans les années 90 et a poursuivi son apprentissage artistique en étudiant à la Sorbonne, où il a obtenu une maîtrise d’arts plastiques en 1999. Depuis lors, ses œuvres se sont éloignées de son travail de rue pour privilégier la figuration plutôt que le lettrage.Les œuvres de Shaka sont remarquables pour leur utilisation de structures 3D, leur explosion de couleurs et leurs visages grimaçants. Il représente les corps en déséquilibre, perturbés par une force naturelle ou humaine. Entre sculpture et peinture, l’art de Shaka crée un lien direct et intime avec l’œuvre qui met à nu nos sentiments et nos émotions.
En 2009, Shaka a obtenu une reconnaissance institutionnelle en participant aux ventes Million-Cornette de Saint-Cyr et Million Associés. Depuis 2012, il collabore avec des galeries en France et à l’étranger et participe aux programmes de résidences de l’Alliance Française. Si vous souhaitez découvrir les œuvres de Shaka, rendez-vous dans une de ses expositions ou dans les rues de votre ville.
SLIKS
Rafael « SLIKS » est un artiste brésilien originaire du quartier de Bela Vista, situé au centre de São Paulo. Son travail est ancré dans la culture du graffiti ainsi que dans l’art de la calligraphie. Rafael SLIKS est particulièrement spécialisé dans l’art de la pichação.
La pichação, parfois orthographiée « pixação », est une forme de graffiti apparue à São Paulo dans les années 1960 et pratiquée presque exclusivement au Brésil. Ses tags peuvent souvent être vus dans les rues de São Paulo.
Il crée sa calligraphie et ses typographies à la bombe aérosol ainsi qu’à la peinture à l’huile. Les couleurs, répétitions, superpositions, mouvements, la nature et les rythmes musicaux contribuent à nourrir son monde intérieur et à créer ses énigmes visuelles.
STEW
Né en 1978 à Paris, Stew a commencé le graffiti au milieu des années 1990. Il se qualifie lui-même d’ “infograffeur” en référence à sa formation en graphisme. Il crée des œuvres numériques qui nourrissent l’ensemble de son travail. Il utilise indifféremment les techniques de la sérigraphie, du collage ou du pochoir.
Ses graphismes, inspirés par la nature en général ou la culture japonaise, forment des œuvres complexes et raffinées. Stew est l’auteur d’une fresque monumentale dans le 13ème arrondissement de Paris. Cette fresque est reconnue pour être la deuxième plus haute façade d’Europe jamais peinte. Il est un artiste street art de renom qui a marqué son empreinte dans la culture urbaine française.
JANA & JS
Jana, originaire d’Autriche, et Jean Sébastien, originaire de France, forment un couple d’artistes talentueux, tant en ville qu’à la scène, spécialisés dans l’art de rue. Ils vivent maintenant à Salzbourg, en Autriche, après avoir passé quelques années à Madrid et à Paris. Inspirés par l’architecture en constante évolution, Jana et JS peignent des paysages urbains, des détails architecturaux simples et des portraits de citadins dans des jeux de miroirs, de transparence et de mise en abîme. Ils utilisent la technique du pochoir, basée exclusivement sur leur travail photographique.
YANN COUEDEL
En traitant la dimension architecturale des paysages qui s’offre à lui, Yann Couëdel met en exergue l’impact des êtres vivants (animal ou humain) sur notre environnement : les deux espèces le façonne, mais la seconde d'une manière beaucoup plus invasive et irréversible. Dorénavant, un site de stockage de conteneurs devient sujet à représentation au même titre que la luxuriance d’une forêt. Et puis il y a cette rencontre fortuite, incongrue des espèces.
Si l’Homme empiète allègrement sur des territoires sauvages, il est plus rare que l’animal s’aventure sur nos terrains urbanisés. Et pourtant, c’est exactement l’impact qu’a eu l’usage du confinement des populations : cerfs et sangliers se sont réappropriés des territoires en déambulant dans des villes mortes, quand un dauphin béluga a remonté la Seine.
La série « Wild » prolonge et extrapole ce phénomène, mettant en tension nature sauvage et nature industrialisée. Derrière le constat de l’anthropisation, se cache la question de l’urgence climatique, un sujet qui jalonne l’œuvre du photographe.
En-dehors de ces problématiques sous-jacentes, Yann Couëdel s’intéresse également au paysage architecturé du point de vue de sa construction formelle et esthétique. Il y décèle un potentiel narratif, appuyé par un travail de la lumière et du cadrage pour créer des scènes dignes de décors de cinéma. Il fait ainsi pénétrer le réel du côté de la fiction.
Le spectateur est tantôt happé par ce qui devient un vaisseau spatial pris dans le panache d’un ciel chargé (une église contemporaine dans un ciel d'orage), tantôt interloqué par cette route qui fend littéralement de la lave (panorama islandais).
Dans ces deux approches du paysage, le traitement de l’image répond à un même processus créatif qui a vocation à troubler celui qui le contemple au travers d’une expérience sensorielle quasi-immersive. Plus qu’une photo, le plasticien produit ce que l’on pourrait qualifier d’ « hyper-photo » en référence à la réalité augmentée, mais dans une forme tangible et non virtuelle. L’image imprimée subit un découpage raisonné des éléments qui la composent. Certains d’entre eux sont encollés sur des supports à épaisseurs variables ; d’autres sont remplacés par de véritables objets (tuyau, miroir, épingle), matériaux (Plexiglas) ou matières (pierre de lave). De la reconstitution découle une image composite en bas-relief, jouant du trompe l’œil et de l’illusion, brouillant la frontière entre réalité palpable et représentation, et accentuant l’ambivalence réalité ou fiction. Le plasticien déstabilise le spectateur qui, naturellement, passe d’un état contemplatif à une mise en mouvement pour comprendre d’où provient cet effet 3D. C’est par son déplacement vers un autre point de vue que l’hyper-photo s’anime et dévoile sa construction.
À l'ère du « tout digital », Yann Couëdel parvient à combiner une production en photographie numérique à un savoir-faire artisanal par un minutieux travail de découpe et d'ébénisterie. En résulte un effet spectaculaire dont la poésie et le réalisme interpellent directement nos sens.
GRAFF'HIT
Graff'Hit a vu le jour le 18 juin 2023. Sa création fut longue mais réfléchit, notre jeune association trouve pourtant ses fondements dans l'expérience et la connaissance des artistes qui la compose.
L'association puise sa force dans ses 10 membres fondateurs mais aussi dans les différents artistes qui se joignent à nous pour poser des lettres, un regard, une expression et surtout de la couleur sur les murs.
Graff'Hit ne se revendique pas un style d'expression mais veut exprimer tous les styles libres de chacun.
Une seule volonté nous anime, trouver des murs et vous rencontrer.
BENOIT GILBERT
« Les trois premières sans flash », telle est la consigne de nombreuses salles et festivals. Trois chansons pas plus, soit une poignée de minutes en fait pour capturer la lumière, le mouvement en provenance de la scène, mais aussi coté public.
Démarrant la photo de concert en 2016 pour un média en ligne, ce sont plus de 500 événements qui ont été figés par mon boitier, de la Laiterie strasbourgeoise au Hellfest, en passant parfois les frontières ou les portes de clubs et caf’ conc’ plus confidentiels.
Cette exposition tend à présenter une sélection d’instants suspendus, dans lesquels l’expression du regard, du geste m’est apparue comme traversée par une sincérité dépassant souvent la mise en scène du spectacle.
THE PRISONERS – CONCERT - vendredi 19h30
Vous avez aimé les musiques de John Barry et de Lalo Schiffrin, les musiques des génériques des séries anglaises et américaines des années 60 et 70 (Manix, Amicalement vôtre…) ? En jouant autant de notes qu’un orchestre symphonique ou de jazz grâce à une énergie de dingue, le groupe de rock The Prisoners redonne vie à ce répertoire extraordinaire (la musique mythique de Star Trek et ses parties de chant lyrique…). Ambiance de folie assurée !!!
https://www.facebook.com/ttnevapassimal
DJ SET – Samedi 18h – 21 h
RESTAURATION
Samedi à partir de 18h, restauration et terrasse.
Food Truck " Le Colibri " cuisine vegan
Afin de pouvoir nous organiser, veuillez réserver vos plats à :
Buvette assurée par la Cour des Arts tout le week-end
Infos pratiques
Du 14 Juin au 16 Juin
Vendredi : Inauguration 19h00
Concert "THE PRISONERS" 19h30
Samedi : 10h - 21h
18h/21h Dj FLO
Food Truck " Le Colibri "
Voir carte
Réservez votre plat à : contact@courdesarts.fr
Dimanche : 10h - 18h